A force d’être une lutte qui ne cesse
D’être un port qui ne veut que la mer
Tant le fleuve l’envahit de sable
Tant la marée basse s’infiltre partout
Tant la vase cherche à être pérenne
La vie est inquiète
Devant toutes ces pesantes lourdeurs
J’oppose obstinément une vive douceur
Pour être à l’abri du temps
J’irai en pointillé peut être
Favorisant les escales
Prolongeant les partages
Communiant les silences
Dans cette insouciance de vie
Pendant qu’au jardin que borde en dentelle la mer
L’ Armérie maritime jouera le blanc du bonheur

Texte M@claire© Droits réservés
Photo Net 


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