Il reste encore un peu l'ombre qui s'allonge sous le figuier
Toutes ces pages d'écriture qui ressemblent au jardin
Au loin l'écho de la mer qui s'étale
Si près on respire le vert des chemins
Tout contre palpitent toutes les fleurs
J'ai laissé le café sur la table et la porte grande ouverte
D'un geste de la main j'ai ébouriffé mes cheveux
Il fera beau c'est certain


Texte M@claire© Droits Réservés





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