Au seuil de chaque soir
Il y a le crépuscule et l’ombre des fleurs sur la nappe
Le pain sur la table et l’odeur de la soupe
Tes mots me font asile et m’offrent chaleur
Comme toujours je m’y blottis
Au loin l'écho du clairon joue ses notes victoires
Dans le silence du champ de ruine
La nuit de nouveau recommencée
Il va faire encore froid
Je vais me remettre à coudre
Texte M@claire© Droits Réservés
Photo Net
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