Cherche demeure
Avec mer en horizon
Sur la terrasse déborderaient
Des campanules folles
Quelques pots déposés là
Déjà un peu l’été
Une chaise oubliée
Rouillée de rosée matin
Trace émouvante d’une rêverie d’hier
Au seuil levant les yeux
Sur le mur de l’entrée
On lirait « Les Heures Claires »
Un nom pour ancrer les fugues
Fait pour retenir mes fragiles


Texte M@claire© Droits Réservés


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