T'es-tu jamais demandé ce qui nourrit mon désir
Mes promenades ombrées
Mes rêves bleutés
Mes voyages lointains
Mes lenteurs africaines
C'est comme un lieu qui aurait avalé la lumière
La conscience vide le doute au bord l'envie tout près
L'urgence  assumée de nos corps
Une invitation à faire s'effacer les retenues
Le feu de nos heures exige nos défis
Le frisson de nos envies gagne sur le temps
Nous faisons nos mots en chemin
Les boussoles n'ont qu'à bien se tenir
Mes siestes sont bien plus belles
Quand tu devines le soleil  sur mon cou

Texte M@claire© Droits réservés
Tableau Charles Camoin


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