Ailleurs,
Il est un temps qui demeure fidèle
Un sentiment comme une ritournelle.
Là, tu peux bien te poser,
Des fois que tu le verrais ce bonheur.
Rien n'est si simple,
Ni le velours de tes mains,
Ni le chemin de ma peau,
Ni la couleur de tes sourires,
Ni la profondeur de mes soupirs,
Ni l'étincelle de tes bras,
Ni l'éclat de mes chants,
Ni les voyages de nos miroirs,
Ni les seuils de nos retrouvailles,
Le beau présage que voilà
Il faudra bien le délier.
Viens mon cœur,
Que l'on respire cet air marin,
Jetons l'ancre

Texte et Photo M@claire© Droits réservés





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