La porte est sans heurtoir, au-delà, il y a
Au plus loin que je m'en souvienne
L'azur du ciel, teinté de menthe
La Terre de Sienne
Les carreaux d'Azulejos
Des miels et des cigales
Des oranges et des dattes
Des jasmins et des roses
Du soleil et des ombres
Les langueurs et des fougues
Le puits est encore au milieu, sa source ne demande qu'à dormir
Le vent fait se balancer une fouta aux mille bleus en fin sabra.
Déposez la sur mes épaules
Les couleurs ne veulent pas se délaver
Désormais, pour ce que je ne vous dis pas
Allez vous en

Texte M@claire© Droits réservés
Photo Sylvain Borsatti©


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