Tu as dépensé d'immenses mots pour essayer
Je ne me suis pas réconciliée avec moi-même
Envahie de symphonies et de milliers de rancœurs
J'ai perdu ma route, tu as retenu ton souffle.
Tu m'aurais fait le compas pour guider ces voiles folles
Au lieu de cela tu abîmes de tes silences ce que j'ai de plus précieux.
Et plus personne n'organisera nos rencontres et nos absences.
A quoi bon jeter des digues en travers d'une mer qu'on a cru orageuse?
Quant elle faisait tempête
Et dans le calme d'après, dévastée, je naviguerai

Texte  et Photo M@claire© Droits réservés


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