Je ne veux rien manquer et pas moins, le temps de nous
Celui qui emprunte des blancs gris et les essaye à mes cheveux
Je n'ai jamais pris racine, j'ai bâti des lieux en déployant mes douceurs
Il y a toujours eu des pièces désertes
Et des miroirs pour une dernière fois
Tu as déjà peur de la fin
Comme si ailleurs, la mémoire de l'habituel te retient dans des compromis
Je m'interroge sur le plus doux
Tes mots ou mes caresses



Texte  M@claire© Droits réservés
Tableau Pierre Bonnard - Détail




Commentaires

Articles les plus consultés