Je n’irai nulle part et les oiseaux migrateurs parsèment le ciel. C’est une émotion qui s’étend dans un infini au profond de nous. Comme si c’était difficile à raconter. Tu sais comme les roses à la belle saison. Un hiver froid s’annonce en sommeil et on voudrait presque que cette histoire en finisse. L’imagination d’un immense jardin qui serait poudré de gel la terre en repos. J'observe finir les chemins. Il faudra peut être regarder du côté de la mer et écouter naître les envies. Un peu plus tard. Un brin plus loin.


Texte et Photo M@claire© Droits réservés




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