Un acte de loin, on écrit, on en parle, tu témoignes, tu t’éloignes. Rien n’est futile, dans le récit.
Tout cela pose des émois tandis que le cœur se découvre des facettes de cristaux méconnus.
Jusqu’alors de cette douleur je n’ai rejoint que l’oubli pour cacher.
Je ne cherche qu’une rime de plus qui ressemblerait à un parcours de vie, pour effacer, d’un coup de fouet ce présent qui n’amortit rien. A l’aube au prochain Printemps je descendrai pieds nus à la mer.
Le ciel, alors, appuiera son regard.


Texte et Photo M@claire©


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