Quand l’eau transparente de la rivière draine les cailloux
Quand dans le ciel le fil blanc d’un long courrier se jette au bleu
Quand les mains du jardinier subliment le verger
A l’heure ou monte la marée
Nos mémoires se plient en accordéon
Tant on essaye d’en trier les cendres
Eparpillées dans le foyer de nos pensées
Je sais que nous saurons toujours être côte à côte
Sans nous dégrader l’un l’autre
Puisque nous seuls savons nous donner l’or de nos cœurs



 Texte et Photo M@claire© Droits réservés


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