Ce début de doux comme une envie d’en garder un morceau dans ma poche pour tous les autres jours de gris. Le soleil danse à la fenêtre, il faut ranger les petites noirceurs et tuer les orages. Ouvrir la porte. Chasser les folles inquiétudes, les pâles angoisses. Laisser entrer l’air. Exiler poussières dessiner souhaits. Je ne sais pas vraiment par où commencer. J’ai le bonheur qui boîte toujours. Tant de courbatures à soigner. Un parcours pour se perdre, des pardons à s’offrir, parfumer de tendresse sa vie. Ne pas accepter qu’une ébauche. S’autoriser l’enfin. De bruit avec fureur en force tout doucement avec envie par choix de loin si près maintenant pourquoi plus pourquoi pas. Il est grand temps.

 Texte M@claire© Droits réservés


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