Je me demande encore de quel honneur il s’agit
Cette agonie d’homme qui serre les poings
Cavalier sans armure n’ayant plus que la mer
Pour chevaucher chagrin et digérer les incertitudes
Je me demande toujours si le vent en giflant sa joue
Colmatera la brèche cette faille d’amour trop vite
Venue et sans mérite aucun si ce n’est tempête
Je me demande comment la douceur
Saura fidèle donner tant d’amour
Quand on ne sait rien de ce qui se voit
Et encore moins le chant des étoiles dans les yeux
Texte M@claire© Droits Réservés
Il est déjà si difficile de vivre en harmonie
RépondreSupprimer@ Arlette, la vie est une longue guérison....
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