C’est l’autre versant de l’aube 
Celui-ci même accroché aux paupières
La nature aussi s’en frissonne 
Résister comme on succombe 
Comme si d’attendre quelqu’un que l’on croit connaitre
Et imaginer que bien plus tard la solitude nous le rendra 
Parce que ceux qui sont partis avaient la légèreté du vent
Et les messages des hirondelles 
Le bleu du ciel nous convainc tous de liberté 
Dans l’enchantement de nos vertiges
Au bord du chemin c'est les bras vides 
Que nous nous retrouvons
Alors la plus douce émotion serait de rompre 
La vraie sagesse semble venue de l’enfance


Texte et Photo M@claire©  Droits Réservés


Commentaires

Articles les plus consultés