Ce matin, cette aube, ce jour,
Tout s'emmêle, un volet ouvert, un volet fermé,
Tout cligne de l’œil au soleil résolument
J'irais léguer toutes mes forces en puisant dans les heures
Cassant enfin le bruit du silence
La terre sera florale
Il me faut changer le sens
Poser mes respirations, partir un pied plus loin


Texte M@claire© Droits Réservés 





Commentaires

  1. Rien ne pouvait être assez lent ; rien ne pouvait durer trop longtemps. Il n'y avait pas de plus grand plaisir (…) que d'en avoir fini avec les triomphes de la jeunesse, après s'être perdue à force de vivre, que de trouver le bonheur, dans un choc délicieux, quand le soleil se levait, quand le jour finissait.
    (V.Woolf , Mrs Dalloway)

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